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Le peintre impressionniste adorait la Normandie,
« pays merveilleux ». En 1883, il s’installe à Giverny.
L’événement Monet au Grand-Palais à Paris s’est achevé fin janvier 2011. Après 84 heures non-stop d’ouverture. Et un chiffre fou : le peintre impressionniste a attiré 920 000 visiteurs en 125 jours. Il se classe parmi les expositions qui ont attiré le plus de monde en France, juste devant l’expo « Toutankhamon » en 1967. L’été 2010, plus de 500 000 visiteurs se sont pressés aux manifestations plurielles de « Normandie impressionniste ».
Enfant de Paris où il est né le 14 novembre 1840, Claude Monet découvre la Normandie à l’âge de 5 ans quand sa famille s’installe au Havre. L’artiste rencontre Boudin, passe par la ferme Saint-Siméon à Honfleur. En 1872, face au port du Havre, il peint son oeuvre emblématique Impression soleil levant. On peut, on doit la voir et la revoir au musée Marmottan à Paris. Lors de sa présentation au public, l’œuvre déçoit. Monet n’est pas mode. Les critiques acerbes jouent sur le mot « impression » pour se moquer. La vague de l’« impressionnisme » ne sera en vogue que quelques années plus tard. Ardent républicain, grand ami de Clemenceau, Monet adore la Normandie, « ce pays merveilleux ». Il peint Rouen – sa fameuse série sur la cathédrale – Étretat, Fécamp, Trouville… Et les nymphéas de son propre jardin de Giverny, dans l’Eure, où il s’installe en 1883 avec sa nombreuse famille. Il y meurt le 5 décembre 1926.