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Devenu comédien, André Raimbourg a pris le nom
de son village d’enfance : Bourville, 300 habitants.
Bourville, 300 habitants, canton de Fontaine-le-Dun, à mi-chemin entre Dieppe et Fécamp en Seine-Maritime. La paisible commune passe à la célébrité lorsqu’un de ses habitants, André Raimbourg, prend son nom au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Bourvil est né le 27 juillet 1917 à Prétot-Vicquemare, au coeur du pays de Caux, pays d’une autre comédienne, Valérie Lemercier. Le petit André ne connaîtra pas son père, tué à la guerre quelques semaines avant sa naissance. Il a 4 ans quand sa maman s’installe dans une ferme de son village natal, Bourville.
Bon élève, enfant de chœur, André apprend à jouer du cornet à pistons, intègre la fanfare de Fontaine-le-Dun. Apprenti à 17 ans, il devient boulanger à Rouen. En 1937, en route pour le service militaire au sein d’une fanfare. En hommage à Fernandel qu’il adore, il s’appelle Andrel pour ses premiers radio-crochets. Les Crayons, chanson qu’il compose, lui apporte la gloire. Dès 1956, il tourne avec Louis de Funès et Jean Gabin dans La Traversée de Paris. Durant les années 1960, Gérard Oury lui offre ses plus grands succès cinématographiques : Le Corniaud, La Grande vadrouille, Le Cerveau...
En 1943, André épouse son amour de jeunesse Jeanne Lefrique. Ils auront deux garçons. L’un d’eux, Dominique, est député socialiste de Loire-Atlantique. Dès 1970, Jeanne est veuve quand Bourvil meurt, à 53 ans, de la maladie de Kahler, maladie du sang. En 1985, se rendant à Montainville sur la tombe de son cher André, Jeanne est victime d’un accident mortel de la circulation.