En poursuivant votre navigation sans modifier vos paramètres de cookies, vous acceptez l’utilisation des cookies pour permettre à la Région de réaliser des statistiques de visites.

Non, je souhaite En savoir plus

J'ai compris

Cookies

Les cookies sont des petits fichiers texte déposés sur votre terminal (ordinateur, tablette ou mobile) lors de la visite d'un site. Ils permettent de reconnaître un internaute, d'une visite à une autre.


La Région Normandie utilise l'outil Google analytics pour collecter des statistiques anonymes sur l'utilisation du site par les internautes (ex : pages les plus consultées, nombre de visiteurs, navigateurs utilisés, ...). En naviguant sur les sites de la Région, un cookie Google analytics est déposé sur votre terminal.


Les cookies sont gérés par votre navigateur internet (Chrome, Firefox, Internet explorer, Safari…). Vous pouvez désactiver et/ou supprimer les cookies dans les Options/Préférences de votre navigateur. Vous pouvez obtenir de l’aide dans le menu Aide de votre navigateur ou sur son site internet.
+ d’infos : www.cnil.fr

Le célèbre couturier français est issu d’une famille d’industriels
granvillais et d’un monde bien loin de la mode.
Christian adorait la cavalcade du carnaval. Il adorait Granville où il est né le 21 janvier 1905, deuxième fils de Maurice et Madeleine Dior. Les Dior produisent alors la javel Dior, la lessive Saint-Marc, des engrais dont les émanations se propagent en ville. « Cela pue Dior ! », ironisaient les Granvillais. L’enfant, lui, préfère le jardin de sa mère entourant la villa des Rumbs, face aux îles Chausey, aux ateliers de son père. « De là, date mon horreur des machines. »
Dilettante, fidèle en amitié, Christian Dior fréquente les artistes à Paris, vend des tableaux, puis ses dessins de mode. La mort de sa maman en 1931 le rend immensément triste. « Cette mort me marqua pour la vie. » Comme la vente des Rumbs à la ville de Granvillle, suite à la faillite de l’affaire familiale. « La maison de mon enfance, j’en garde le souvenir le plus tendre et le plus émerveillé. Ma vie, mon style, doivent presque tout à sa situation et à son architecture. »
Devenu modéliste, il convainc Marcel Boussac d’ouvrir une maison de couture à son nom ; Dior, ce mélange de Dieu et or. Fin 1946, il s’installe avenue Montaigne à Paris, où travaillent nombre de Normands. Le 12 février 1947, la présentation de sa collection Corolle, baptisée New Look par une journaliste américaine, remporte un succès planétaire. Les parfums Dior suivent dans la foulée. Dix ans plus tard, le Time Magazine offre sa Une au couturier français. En octobre 1957, Christian Dior s’éteint brutalement d’une crise cardiaque en Italie.